Molière a séjourné par deux fois à Montpellier, en 1654 et 1655. La Ville de Montpellier lui rend hommage tout au long de l’année 2022 à travers une série d’événements et la création du Tra’Molière qui sillonnera la ville cet été. De nombreux acteurs culturels ont également souhaité être au rendez-vous de cette célébration et proposent ainsi sur le territoire une riche programmation, à destination de tous les publics.
Jean-Baptiste Poquelin, alias Molière, aurait eu 400 ans en janvier 2022. Ce merveilleux homme de théâtre a souvent travaillé avec deux compositeurs – Lully et Charpentier – pour monter ses fameuses « comédies-ballets » comme Le Mariage forcé, L’Amour médecin ou Le Malade imaginaire, ancêtres de notre théâtre musical contemporain. Au XXe siècle, Strauss et Hofmannsthal se laisseront séduire à leur tour par son Bourgeois gentilhomme.
Cheffe au grand charisme et disciple de Sergiu Celibidache, Zahia Ziouani dirigera ce concert éclectique et joyeux, qui sera également chansigné. Idéal pour régaler petits et grands.
Samedi 23 avril à 11h et 17h
À partir de 6 ans
Concert chansigné
Tarif unique : 10€
Réservations :
Public sourd et malentendant :
Des gilets vibrants SUBPAC sont disponibles gratuitement sur réservation auprès de la billetterie.
Venus en 2016 pour célébrer le quadri-centenaire de la mort de Shakespeare puis de nouveau en 2018, les Edward’s Boys retraversent la Manche pour fêter Molière à Montpellier avec un spectacle conçu pour l’occasion. Cette troupe d’élèves du King Edward VI School de Stratford-upon-Avon, qui compte Shakespeare parmi ses anciens élèves, est connue outre-Manche pour ses représentations du théâtre des années 1590-1630.
Dans la tradition de l’époque, les pièces sont jouées par une troupe entièrement composée de garçons, qui interprètent tous les rôles avec grand talent, privilégiant un jeu enlevé où l’humour côtoie l’émotion. La qualité de leur travail les a conduits à se produire en des lieux aussi prestigieux que l’Université d’Oxford, le théâtre du Globe, à Londres, et le Parlement britannique.
Leur toute dernière création entrecroise des scènes médicales (dont une scène de dissection) empruntées à Molière et à des auteurs anglais des XVIe et XVIIe siècles, dans un style où se côtoient musiques contemporaines, commedia dell’arte, et satire des rhétoriques pédantes. Les langues du spectacle sont l’anglais et le français, avec un léger saupoudrage de latin.
Site internet des Edward’s Boys
Théâtre d’O (Montpellier)
Spectacle réservé aux collèges participant au programme du Printemps des collégiens : « Shakespeare et citoyenneté »
Maison des chœurs (Montpellier)
Spectacle gratuit, ouvert à tous, dans la limite des places disponibles
Quatre auteurs invités participeront à des rencontres autour de Molière durant la Comédie du Livre :
Adressé au jeune public, cet ouvrage retrace la vie du dramaturge, encore fort étudié par les élèves, de sa jeunesse de saltimbanque sous le nom de Jean-Baptiste Poquelin au choix de son célèbre nom Molière. Complété par une mise en musique, cet ouvrage s’adresse à un public d’enfants afin de leur faire découvrir la biographie du grand écrivain et metteur en scène.
Né en 1968, Pierre Senges se passionne dans un premier temps pour la musique, notamment pour le jazz, en apprenant à jouer du saxophone en autodidacte, puis à la guitare. Depuis les années 1990, il se consacre exclusivement à l’écriture et publie plusieurs romans aux éditions Verticales pour lesquels il reçoit de nombreux prix, comme Veuves au maquillage (2000, prix Rhône-Alpes) ou encore Ruines de Rome (2002, prix du Deuxième roman). Par ailleurs, Pierre Senges est également l’auteur de fictions radiophoniques pour France Culture et France Musique dont Un immense fil d’une heure de temps pour lequel il reçoit le Grand Prix SGDL de la fiction radiophonique. Ses ouvrages sont souvent construits autour d’un assemblage de séquences tout en alternant humour et ironie glaçante. Véritable encyclopédiste baroque, Pierre Senges met toujours en avant une dimension inventive jouant sur la vérité et le mensonge.
Bibliographie sélective
Inspiré de l’histoire sentimentale du dramaturge, Vincent Delmas revient sur l’écriture de L’école des femmes, chef-d’œuvre de Molière dans lequel il ridiculise avec férocité le sexe dit fort, l’institution maritale et l’éducation des filles. Provoquant un véritable tôlé auprès des ecclésiastiques, Molière est même menacé du bûcher. Mais celui-ci compte bien sur l’approbation de sa Majesté le Roi Louis XIV pour sortir habilement de l’embarras. A travers ce récit fictionnel de la vie du dramaturge, Vincent Delmas et le dessinateur Sergio Gerasi offrent une nouvelle lecture de l’œuvre de Molière avec un regard contemporain sur les questions des droits de femmes et de l’émancipation.
Vincent Delmas a été guitariste et chanteur au sein du groupe de métal Stradivarius avant de se consacrer à l’écriture scénaristique et à la réalisation de courts-métrages, dont l’un fut primé lors du Marathon du court en 2006. Vincent Delmas se tourne ensuite vers la bande-dessinée et publie sa première série Synchrone, un thriller dessiné qui récolte de belles critiques. Par ailleurs, il publie dès 2016 la série Ils ont fait l’Histoire aux éditions Glénat, retraçant les parcours de grands personnages historiques. Il a également co-écrit une pièce de théâtre qui joue depuis 2012 et travaille actuellement sur un projet de long-métrage.
Bibliographie sélective
A 16 ans, la jeune Armande entre dans la troupe de Molière grâce à sa sœur Madeleine et relate les représentations devant seigneurs et paysans. Or, cette jeune fille, bercée par ses rêves d’amour et de gloire tente de se faire remarquer par le dramaturge afin de décrocher un vrai rôle tandis que celui-ci écrit une nouvelle pièce intitulée Les Précieuses ridicules. Dans ce récit prenant la forme d’un journal intime, Christine Féret-Fleury retrace le destin des femmes de théâtre, leur place dans la société, leurs rêves et leurs désillusions.
Après des études de lettres, Christine Féret-Fleury travaille pour la collection « Frontières » aux éditions Gallimard. Parallèlement à sa profession, Christine Féret-Fleury publie son premier roman pour la jeunesse, Le Petit Tambour, en 1996, puis Les Vagues sont douces comme des tigres, son premier roman adulte, en 1999. Très vite, Christine Féret-Fleury se fait une place parmi les auteurs de littérature jeunesse, et un grand nombre de ses romans sont étudiés dans les classes de collège, si bien qu’elle rencontre aujourd’hui un succès international. Depuis 2001, elle anime également des ateliers d’écriture à destination du tout public. Ses œuvres sont surtout remarquables par l’universalité des thèmes abordés et le rapport à l’acceptation de soi, primordiale pour les adolescents.
Bibliographie sélective
Romans
Littérature jeunesse
« Quoi que puisse dire Aristote et toute la Philosophie, il n’est rien d’égal au tabac : c’est la passion des honnêtes gens, et qui vit sans tabac n’est pas digne de vivre… »
Voici comment débute le célèbre Dom Juan de Molière. Sganarelle y vente, dans une étrange tirage, les vertus du tabac sans que ce sujet ne soit plus jamais abordé dans le reste de la pièce.
Mais quel sens peut-on conférer à cette entrée de pièce ? Quelle subtile métaphore peut-il se cacher derrière ce sujet, pour le moins surprenant, dans l’histoire de Dom Juan ? Que doit-on comprendre ?
Ce sont ces secrets et ces énigmes que Paul Audi nous propose d’explorer et de dévoiler dans son livre La Riposte de Molière. A la manière d’une véritable enquête, l’auteur nous propose une analyse de chaque mot, chaque tirade et chaque didascalie par le prisme du mobile politique qui porte l’écrit de Molière.
Plus qu’une enquête, La Riposte de Molière est un hymne au combat qu’a mené le dramaturge pour faire valoir ses mots, dans un des moments le plus délicat de sa vie.
Normalien issu de l’Ecole supérieure de Saint-Cloud, Paul Audi est un philosophe français né en 1963. Il obtient son titre de docteur en philosophie après avoir soutenu une thèse sur l’écrivain et philosophe Jean-Jacques Rousseau qui sera publiée en 1997. Après quelques années à enseigner à l’université Paris-Est-Créteil-Val-de-Marne, il décide de mettre de côté sa carrière dans l’enseignement pour se consacrer à d’autres projets. Ainsi, il a notamment pu co-diriger une collection d’essais, parue de 1997 à 2003 aux Presses Universitaire de France ainsi qu’étoffer ses réflexions et ses recherches philosophiques.
En 2019, associé au compositeur libanais Zad Moultaka, Paul Audi se lance dans la création d’Hémon, un opéra en neuf tableaux, commandé par l’Opéra National du Rhin et qui reprend sa précédente œuvre : Le Choix d’Hémon, parue aux éditions Galilée en 2021.
Il sera présent pendant la Comédie du Livre-Dix jours en mai pour présenter son dernier ouvrage La Riposte de Molière, aux éditions Verdier.
Bibliographie sélective
Les deux passages de Molière à Montpellier en 1653 et 1655 ont marqué la ville. De nombreux lieux montpelliérains lui rendent hommage, comme en témoignent la plaque commémorative placée en 1855 sur l’un des murs du musée Fabre mais aussi la salle Molière à l’Opéra Comédie.
L’Office de Tourisme de Montpellier organise des déambulations en costumes d’époque, masques et accessoires illustreront le quotidien du XVIIe siècle et représenteront les personnages les plus connus de l’œuvre de Molière.
Une association, « le Manoir du Crime », proposera une « Enquête occulte autour de Molière » au Domaine d’O le dimanche 15 mai, pendant le temps fort jeunesse.
Le Manoir du Crime est une association à caractère ludique fondée par deux passionnés voulant promouvoir le Jeu de Rôle.
Cette enquête est déambulatoire, et elle sera l’occasion de découvrir le magnifique parc du Domaine d’O.
Pourquoi parle-t-on encore de Molière, 400 ans après sa mort ? Génie comique, certes, mais la célébrité du comédien est aussi affaire de médias, de publicité et de scandales judicieusement orchestrés tout au long de sa carrière. Découvrez l’histoire d’une des premières stars de France, dont la mort résonna bien au-delà des frontières du royaume, et la naissance des médias et du star system sous Louis XIV.
Christophe Schuwey est professeur assistant de littérature française du XVIIe siècle à l’Université Yale. Il est l’auteur d’Un entrepreneur des lettres au XVIIe siècle. Donneau de Visé, de Molière au Mercure galant (Classiques Garnier, 2020) et l’un des co-auteurs, avec Clara Dealberto et Jules Grandin de L’Atlas Molière (Éditions Les Arènes, 2022). Ses recherches explorent les théories et les pratiques marketing dans la société d’Ancien Régime, l’information et son contrôle, ainsi que les transferts culturels entre l’Angleterre et la France. Il est également actif dans le champ des Humanités numériques, comme auteur de l’essai Interfaces et de plusieurs éditions numériques et de bases de données.
Dimanche 22 mai, 11h
Château de Castries
Programmé en ouverture du Printemps des comédiens, ce colloque-festival se propose d’étudier les scènes de médecine qui émaillent le théâtre de Molière, les modèles dont elles se sont nourries, notamment en Italie et en Espagne, et leur fortune sur les scènes européennes, en particulier britanniques, durant le second XVIIe siècle et au XVIIIe siècle.
Ce colloque-festival fera donc dialoguer des spécialistes de Molière et plus généralement du théâtre français, des spécialistes des théâtres italien, espagnol et anglais de la première modernité et des spécialistes d’histoire de la médecine, autour des questions suivantes : quelle est la spécificité des scènes de médecine et des comédies médicales de Molière ? Dans quelle tradition européenne s’inscrivent-elles, puisque l’on sait que les sujets du Médecin volant ou de Monsieur de Pourceaugnac, notamment, sont empruntés à des canevas italiens et que la comedia espagnole fait une place importante aux scènes de médecine ? Dans quelle mesure ces scènes de médecine sont-elles une représentation des débats médicaux contemporains et ont-elles quelque chose à nous dire de la médecine du temps ? Enfin, que deviennent ces scènes de médecine dans les adaptations européennes du théâtre moliéresque ?
Matinée à la Cité des Arts de Montpellier
Après-midi à la faculté de médecine de l’Université de Montpellier
Le partenariat patrimonial et scientifique avec la faculté de médecine de Montpellier, la plus ancienne qui soit toujours en exercice en Europe, vise à valoriser son patrimoine unique (musée d’anatomie, archives et fonds anciens) en lien avec Molière, dont les pièces à sujet médical se nourrissent des controverses doctrinales qui opposent les facultés de médecine de Paris et Montpellier dès la fin du XVIe siècle. La compagnie Les Perles de verre/La Baignoire donnera, sous la direction artistique de Béla Czuppon, une lecture exploratoire et déambulatoire de scènes médicales de Molière en dialogue avec des textes non dramatiques (correspondance de Guy Patin ; lettres de Madame de Sévigné ; littérature polémique qui oppose les écoles de médecine de Paris et Montpellier ; journal des médecins de Louis XIV, etc.).
Le chaos règne dans la maison d’Orgon, un veuf fortuné. Sa nouvelle épouse Elmire lui est devenue étrangère et son fils Damis, qu’il était sur le point de marier, s’éloigne lui aussi. Même Dorine, la servante et confidente, n’a plus aucune prise sur le chef de famille. La rencontre vaec Tartuffe, un mendiant pieux, donne un nouveau sens à sa vie : un détachement spirituel et matériel radical. Orgon le recueille en sa demeure et fait de lui son directeur de conscience. Il y est encouragé par sa mère, Madame Pernelle, qui veut purifier le foyer de toute sorte de jouissance. Alors que Cléante échoue à convaincre son beau-frère Orgon des mauvaises intentions de son protégé, Elmire, Damis et Dorine décident de démasquer Tartuffe ou l’hypocrite. En le séduisant, Elmire révèlerait ainsi la vraie nature de ce dernier. Le piège initial devient un enjeu vital pour l’ensemble des personnages. Un champ de bataille. Lorsque Orgon se rend compte de la tromperie de son ami, il est trop tard. Tartuffe quitte la maison en unique héritier des biens de son hôte. La famille est déchirée, mais n’est-elle pas plutôt libérée ?
Ivo Van Hove
Figure majeure de la scène théâtrale internationale, Ivo Van Hove compte à son actif une centaine de spectacles. En trois décennies, l’actuel directeur général de l’International Theater Amsterdam (anciennement Toneelgroep), dont le champ d’exploration embrasse le monde du théâtre, du cinéma et de l’opéra, a parcouru un vaste répertoire d’œuvres : Tennessee Williams (La ménagerie de verre), Sophocle (Antigone) Shakespeare (Kings of war) Molière (Le Misanthrope et l’Avare), Tony Kushner (Angels in america), Arthur Miller (Vu du pont), Ibsen (Hedda Gabler), Louis Couperus (The hidden force, Les choses qui passent et Smallsouls), Alexandre Dumas (La dame aux camélias) ou Ayn Rand (The Fountainhead).
Tartuffe ou l’hypocrite, pas Tartuffe ou l’imposteur : c’est la pièce qui fut jouée une fois devant Louis XIV et interdite aussitôt. Lorsqu’il écrit sa première version du Tartuffe, Molière est au sommet de sa gloire. Le Roi lui a fait l’honneur d’être parrain de son fils en janvier 1664 et lui commande en urgence un ballet, Le mariage forcé. Il s’occupe de sa prochaine pièce, Le Tartuffe, quand lui arrive une autre commande d’importance : Louis XIV veut offrir à la Cour une grande fête de printemps dans les jardins de Versailles, intitulée « Les plaisirs de l’île enchantée ». Molière est au centre de l’organisation des trois journées de festivités avec une nouvelle pièce écrite en urgence, La princesse d’Elide, une représentation des Fâcheux, du Mariage forcé et la création de sa pièce en trois actes, Le Tartuffe ou l’Hypocrite. Le Tartuffe a été créé à Versailles devant Louis XIV et la Cour au soir du 12 mai 1664.
Attaqué par les dévots, Molière voit cette dernière immédiatement interdite par le Roi, bien que ce dernier l’apprécie et lui permette de la représenter en privé. Les raisons qui dictent cette interdiction, officiellement, invoquent la piété du Roi, mais touchent plus vraisemblablement à la politique religieuse générale, menée dans un souci d’apaisement. Molière fait donc les frais des tensions religieuses et idéologiques en haut lieu, et est l’objet d’attaques d’une rare violence au sein d’une guerre de pamphlets.
En 1667, le dramaturge présente une seconde version en cinq actes, sous le titre L’Imposteur, fort de la protection royale accordée à sa troupe, désormais « Troupe du Roi ». Le propos semble moins virulent : l’hypocrite (Panulphe et non Tartuffe) n’est plus un vrai dévot dont le comportement contredit les principes, mais un imposteur qui se fait passer pour un dévot. La pièce est de nouveau interdite par le premier président du Parlement de Paris, en vertu de l’interdiction royale de 1664. En septembre 1668, le bruit court que le Roi va enfin autoriser la pièce. Le public l’attend avec impatience. Le 5 février 1669 a enfin lieu la première représentation du Tartuffe ou l’Imposteur, pièce en cinq actes, qui mêle des éléments des deux premières versions. La recette de la première représentation est considérable, et le succès ne se dément pas jusqu’à Pâques. Cette « bataille du Tartuffe » est l’un des combats les plus âpres que Molière eut à mener.
« Reconstituée », Tartuffe ou l’hypocrite offre au grand metteur en scène Ivo Van Hove, après les Damnés, l’occasion de retrouver les comédiens du français. Et à ces derniers de jouer un inédit de Molière.
Durant l’été 2022, des pièces de théâtre seront jouées à la Faculté de Médecine de Montpellier. Deux dates en juillet et en août laisseront la possibilité aux plus curieux de découvrir les pièces de Molière dans un cadre exclusif.
Plus d’infos au 04 67 60 60 60
A partir du registre paroissial de 1654, unique document mentionnant Molière conservé aux Archives municipales, le service des Archives de la Ville et de la Métropole a conçu une page sur le site de la Ville consacrée à l’année Molière, rassemblant des témoignages de son passage à Montpellier. Molière a séjourné par deux fois à Montpellier aux hivers 1654 et 1655, à l’occasion des assemblées des états de Languedoc. Molière et sa troupe accompagnaient leur protecteur, Armand de Bourbon, prince de Conti, gouverneur et président des Etats de Languedoc.
Un paragraphe est dédié à chacun des deux séjours, un troisième à l’archiviste La Pijardière, étonnant personnage, découvreur des autographes de Molière à Montpellier aux Archives de l’Hérault, et dont les archives municipales possèdent les écrits.
1, place Georges Frêche
34267 MONTPELLIER cedex 2
Tramway 1 et 3 arrêt Moularès Hôtel de ville
Tramway 4 arrêt Georges Frêche - Hôtel de Ville
Coord. GPS : 43°35'52"N, 3°52'39"E
Du lundi au vendredi de 8h30 à 17h30 sauf le jeudi de 10h00 à 19h00