BEGIN:VCALENDAR VERSION:2.0 PRODID:-//hacksw/handcal//NONSGML v1.0//EN BEGIN:VEVENT DTSTART:20170519T230000Z DTEND:20170827T225959Z LOCATION: SUMMARY:Trois nouvelles expositions à La Panacée DESCRIPTION:, Sonia Kerangueven, Adjointe au Maire de Montpellier, déléguée à la Culture et Nicolas Bourriaud, directeur de La Panacée et du MoCo - Montpellier Contemporain, ont présenté à la presse, le deuxième cycle d'expositions proposé par La Panacée du 20 mai au 27 août 2017., , , , , A nouveau, ce sont trois expositions qui sont présentées simultanément, faisant la part belle à des univers très divers grâce à des artistes de renom : John Bock, Wim Delvoye ou encore Mimosa Echard, Yann Gerstberger, Markus Selg regroupés aux côtés de nombreux autres pour une 3ème exposition collective intitulée « Pré-capital »., Selon Philippe Saurel, Maire de Montpellier et Président de Montpellier Méditerranée Métropole : « La Panacée, avec ce deuxième cycle d'expositions, affirme sa vocation de centre d'art généraliste, se rapprochant toujours plus de ce que sera le MoCo. Grâce à une proposition inédite et multiple, Montpellier se positionne comme une place forte de l'art contemporain. », 20 mai - 27 août 2017, Vernissage le vendredi 19 mai 2017 à 18h30, , , John Bock, John Bock, né en 1965 à Gribbohm, est sans aucun doute l’un des plus grands artistes allemands de sa génération., Vivant et travaillant à Berlin, il est à la fois sculpteur, dessinateur, artiste de performance, cinéaste et auteur. Son exposition proposée à La Panacée, qui comprendra deux oeuvres inédites réalisées pour l’occasion, sera la première présentée dans un centre d’art en France., Inspiré par l’Arte Povera italien comme par le mouvement Fluxus, John Bock se situe dans le sillage des artistesbricoleurs des années 1960. À l’aide d’éléments domestiques, banals, John Bock élabore des sculptures, des films, avec un humour absurde, une inventivité sans limites, qui savent donner à la vie quotidienne une dimension épique. Ses installations et expositions combinent plusieurs formes d’expression en une oeuvre d’art et sont en perpétuel mouvement., Généralement, le point de départ de l’art de John Bock est son travail concret avec des matériaux, des corps et des objets, avec des gens ou des plateaux de tournage. Ses expositions et ses films ont généralement quelque chose de claustrophobe. Pour l’artiste, le plan textuel est également primordial. Il vient en tant que supplément à sa sculpture, ses installations, ses dessins et ses films. Il croit que c’est ainsi que fonctionne le monde. « D’abord, vous comprenez par les images, puis par les concepts »., En 2017, plusieurs expositions ont été consacrées à John Bock : à la Berlunische Galerie Berlin, à Sadie Colle Gallery à Londres. Après son exposition à la Panacée, il présentera une nouvelle exposition à The Contemporary Austin au Texas aux États-Unis, pour début 2018., Dans le cadre de sa première exposition au sein d’un centre d’art en France, à la Panacée, John Bock propose deux nouvelles installations, conçues spécifiquement pour l’occasion., Wim Delvoye, Depuis les années 1980, Wim Delvoye s’attache à déplacer les frontières qui séparent traditionnellement la culture populaire et l’art, l’ancien et le contemporain, le noble et l’impur. Né en 1965 à Wervik en Belgique, et vivant et travaillant à Gand, l’artiste expose dans le monde entier., Pour la première fois, l’exposition présentée à La Panacée réunira l’ensemble des dessins préparatoires, études techniques et dessins de logos réalisés de 2000 à 2010 par l’artiste belge, pour son oeuvre emblématique « Cloaca », dont il existe aujourd’hui dix versions., Développée pendant plusieurs années avec les scientifiques et experts de différents domaines comme la gastroentérologie, la bactériologie, l’informatique et la plomberie, « Cloaca » est une machine qui reproduit le système digestif. Entre les deux extrémités de la machine, un ordinateur gère le processus complexe de digestion avec tous les produits chimiques et enzymes nécessaires. Alimentée, cette machine-oeuvre produit des matières fécales qui sont ensuite vendues., Critique de la société de consommation, Wim Delvoye a introduit cette machine absurde et sophistiquée en bourse et créé son site propre : www.cloaca.be., Récemment, Wim Delvoye a fait l’objet de plusieurs monographies au Terhan Museum of Contemporary Art en Iran, au MUDAM au Luxembourg ou encore au DHC/ART, à Montréal. Il prépare également deux expositions personnelles pour la Galerie Perrotin, New York et le Musée Tinguely Bâle, en Suisse., Pré-capital, Avec Caroline Achaintre, Elise Carron, Mimosa Echard, Aurélie Ferruel & Florentine Guedon, Yann Gerstberger, Matteo Nasini, Samara Scott, Markus Selg, Santo Tolone, Natsuko Uchino, We Are The Painters..., Curators : Charlotte Cosson & Emmanuelle Luciani avec Nicolas Bourriaud., Quand l’art explore les futurs de l’humanité, il s’inspire parfois du passé le plus lointain : les artistes présentés dans Pré-capital explorent des modes de fabrication d’avant l’industrie et court-circuitent le monde numérique au profit d’un art de la décroissance. Artisans néo-ruraux, chasseurs-cueilleurs d’objets, folkloristes imaginaires, ils/ elles réinvestissent des pratiques alternatives, des techniques populaires ou des savoirs locaux., , En savoir plus sur les expositions à La Panacée, X-ALT-DESC;FMTTYPE=text/html:
Sonia Kerangueven, Adjointe au Maire de Montpellier, déléguée à la Culture et Nicolas Bourriaud, directeur de La Panacée et du MoCo - Montpellier Contemporain, ont présenté à la presse, le deuxième cycle d'expositions proposé par La Panacée du 20 mai au 27 août 2017.
A nouveau, ce sont trois expositions qui sont présentées simultanément, faisant la part belle à des univers très divers grâce à des artistes de renom : John Bock, Wim Delvoye ou encore Mimosa Echard, Yann Gerstberger, Markus Selg regroupés aux côtés de nombreux autres pour une 3ème exposition collective intitulée « Pré-capital ».
Selon Philippe Saurel, Maire de Montpellier et Président de Montpellier Méditerranée Métropole : « La Panacée, avec ce deuxième cycle d'expositions, affirme sa vocation de centre d'art généraliste, se rapprochant toujours plus de ce que sera le MoCo. Grâce à une proposition inédite et multiple, Montpellier se positionne comme une place forte de l'art contemporain. »
20 mai - 27 août 2017
Vernissage le vendredi 19 mai 2017 à 18h30
John Bock
John Bock, né en 1965 à Gribbohm, est sans aucun doute l’un des plus grands artistes allemands de sa génération.
Vivant et travaillant à Berlin, il est à la fois sculpteur, dessinateur, artiste de performance, cinéaste et auteur. Son exposition proposée à La Panacée, qui comprendra deux oeuvres inédites réalisées pour l’occasion, sera la première présentée dans un centre d’art en France.
Inspiré par l’Arte Povera italien comme par le mouvement Fluxus, John Bock se situe dans le sillage des artistesbricoleurs des années 1960. À l’aide d’éléments domestiques, banals, John Bock élabore des sculptures, des films, avec un humour absurde, une inventivité sans limites, qui savent donner à la vie quotidienne une dimension épique. Ses installations et expositions combinent plusieurs formes d’expression en une oeuvre d’art et sont en perpétuel mouvement.
Généralement, le point de départ de l’art de John Bock est son travail concret avec des matériaux, des corps et des objets, avec des gens ou des plateaux de tournage. Ses expositions et ses films ont généralement quelque chose de claustrophobe. Pour l’artiste, le plan textuel est également primordial. Il vient en tant que supplément à sa sculpture, ses installations, ses dessins et ses films. Il croit que c’est ainsi que fonctionne le monde. « D’abord, vous comprenez par les images, puis par les concepts ».
En 2017, plusieurs expositions ont été consacrées à John Bock : à la Berlunische Galerie Berlin, à Sadie Colle Gallery à Londres. Après son exposition à la Panacée, il présentera une nouvelle exposition à The Contemporary Austin au Texas aux États-Unis, pour début 2018.
Dans le cadre de sa première exposition au sein d’un centre d’art en France, à la Panacée, John Bock propose deux nouvelles installations, conçues spécifiquement pour l’occasion.
Wim Delvoye
Depuis les années 1980, Wim Delvoye s’attache à déplacer les frontières qui séparent traditionnellement la culture populaire et l’art, l’ancien et le contemporain, le noble et l’impur. Né en 1965 à Wervik en Belgique, et vivant et travaillant à Gand, l’artiste expose dans le monde entier.
Pour la première fois, l’exposition présentée à La Panacée réunira l’ensemble des dessins préparatoires, études techniques et dessins de logos réalisés de 2000 à 2010 par l’artiste belge, pour son oeuvre emblématique « Cloaca », dont il existe aujourd’hui dix versions.
Développée pendant plusieurs années avec les scientifiques et experts de différents domaines comme la gastroentérologie, la bactériologie, l’informatique et la plomberie, « Cloaca » est une machine qui reproduit le système digestif. Entre les deux extrémités de la machine, un ordinateur gère le processus complexe de digestion avec tous les produits chimiques et enzymes nécessaires. Alimentée, cette machine-oeuvre produit des matières fécales qui sont ensuite vendues.
Critique de la société de consommation, Wim Delvoye a introduit cette machine absurde et sophistiquée en bourse et créé son site propre : www.cloaca.be.
Récemment, Wim Delvoye a fait l’objet de plusieurs monographies au Terhan Museum of Contemporary Art en Iran, au MUDAM au Luxembourg ou encore au DHC/ART, à Montréal. Il prépare également deux expositions personnelles pour la Galerie Perrotin, New York et le Musée Tinguely Bâle, en Suisse.
Pré-capital
Avec Caroline Achaintre, Elise Carron, Mimosa Echard, Aurélie Ferruel & Florentine Guedon, Yann Gerstberger, Matteo Nasini, Samara Scott, Markus Selg, Santo Tolone, Natsuko Uchino, We Are The Painters...
Curators : Charlotte Cosson & Emmanuelle Luciani avec Nicolas Bourriaud.
Quand l’art explore les futurs de l’humanité, il s’inspire parfois du passé le plus lointain : les artistes présentés dans Pré-capital explorent des modes de fabrication d’avant l’industrie et court-circuitent le monde numérique au profit d’un art de la décroissance. Artisans néo-ruraux, chasseurs-cueilleurs d’objets, folkloristes imaginaires, ils/ elles réinvestissent des pratiques alternatives, des techniques populaires ou des savoirs locaux.
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